• Au premier frémissement de l'Aube de Vie

    Tu rayonnes la Lumière qui nous unis

    Ô oui, tout ton Être est comme le matin

    Qui nous offre la journée, tellement serein

     

    Où absolument tous nos actes, pensées d'hier

    Les plus beaux, même les plus bas et les plus fiers

    Qui s'expriment, d'un coup, perdent l'impureté

    Dès l'instant que tu donnes à l’Éternité

     

    Demeurent à jamais, frémissements de paix

    Simples dans ton juste chemin d'Amour qui est 


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  • Au sein de la jungle des arbres d'illusions

    Dont les feuilles faciles enivrent si vite

    Tu te faufiles de ces pièges d'impression

    Par tes jambes agiles sur le sol de mites

     

    Comme un fauve marié à l'immense espace

    Offert à sa force comme pur témoignage

    D'un caractère brut qui scrute tout en face

    A tes peurs de recul, tes peurs du mirage

     

    Si tu es l'étranger du monde des prochains

    Du monde des clans dans quelque ville de fer

    Où du monde des intolérances qui serrent

    Qui serrent nos idées, nos amours et nos mains

     

    Rayonne de ce temps béni de synergie

    Pour les autres qui passent près de ton chemin

    Pour les autres qui ont besoin des lendemains

    Qui chantent la gaieté comme ceux de ta vie

     

    Il semble tellement rapide de détruire

    Et il me semble tellement long de construire

    Comme les arbres que je vois brûler-Douleur

    Qui mettent tant d'années à repousser-à Cœur

     

    Ô pourrais je vraiment le comprendre un jour?

    Ô mon Père, s'il vous plaît, pourrais-je le faire?

    Est-ce seulement hypocrisie de ma part?

    J'ai l'espoir que c'est en nous caché quelque part

     


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  • A chaque frémissement d'instant qui éclos

    Dans la coquille qui m'enveloppe encore

    Toc, Toc. J'apprends à marcher dans un grand décor

    Toc, il prend une forme vivante: je sors...

     

    Comme un caméléon avec des facettes

    Qui se découvre sur le pourtour de mon faible

    Pour l'enrouler à table d'un ruban de miettes

    Qui étouffe ma vision comme un grain de sable

     

    Sait-on vraiment sortir de ces cercles maudits?

    Qui m'oppriment de toute leur boucle, me disent:

    Je suis victime, puis coupable de rancœur

    Et puis coupable, puis victime de malheur

     

    Oui, puisse l'infime route rester non vierge!

    De quelque amour, quelque joie, de quelque cierge

    D'un quelque léger sourire, d'un quelque mieux

    Courage!

    Quel riche chemin jusqu'aux cieux de Dieu!


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  • Illusions d'auteurs parole

    En chiffres de mot

    Bien prévus si tôt

    D'un petit chapeau d’Éole

     

    Et l'affaire traîne

    La justice est privée

    De sa malle reine

    Au pays de l'argent fée

     

    A la splendide baguette

    Amnistie facile

    Amnésie roue libre

    Oh, avec une sucette!


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  • Quelque part très loin au fond d'un puits de brouillard

    Qui ressemble à un échafaud de sentier

    Piétinant la peur tes pas tracent le regard

    De ce pays que tu appelles en premier

     

    Cette terre te frotte d'un salut poli

    La force brute des paysages du soir

    De lourdes photos persistent dans ta mémoire

    Telle une porte pour un tableau de Dali

     

    Plonge au contact de l'étrange cité!

    Quadrillée par des rainures posées à vif

    Et comme une veine d'un fleuve qui siffle

    A ton audace en soif de curiosité

     

    Plonge vite au ventre de la différence

    Source de tous, source des temps, source des sens

    D'extase pour qu'ils travaillent tous à outrance

    Dans quelque formidable élan d'arrogance

     

    Non méprisante; Mais bien plus grand je le pense!

    Dans chaque instant mêlé de révolution

    Où la seconde est une année qui danse

    Naturellement vient une méditation

     

    Dans un grand livre Nature: riche lecture

    Généreuse terre, généreuse eau pure

    Qui t'éclabousse soudain à ta face dure

    Puis l’amollisse. Désaltérante culture

     

     


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  • Derrière une porte perdue

    J'aperçus les mains d'un cheveu

    Il semblait me dire tu veux

    Il me semblait violer sa vue

     

    J'entends le désir qui fouette

    Dans mes veines des allumettes

    M'allument et je sens la fièvre

    Au fond de moi coure un lièvre

     

    Apporter une rose rouge

    Malheureux je la voyais blanche

    Des icebergs de marbre blanc

    Des larmes de sang dans ma gorge

     

    M’empêchent d'atteindre le port

    Du bonheur de ma bien-aimée

    -Si simple-

    Je pense qu'elle dort

    Car j'entends son Rêve bien fort

     

    Un jour je franchirai la porte

    Pour te porter

    Jusqu'à mon Corps


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  • Quand le rouge pion

    Roule le roi noir

    Sur le tapis soir

    Sa carte du lion

     

    A donné sa dame

    Qui pleure dans l'ombre

    Une tour infâme

    La mate-On sombre

     

    Sur le paris vert

    Carreaux de pelouse

    Un cavalier sert

    Des fous jouant l'eau

     

    Salie d'un argent

    Qui ne brille pas

    Là dans ses blancs gants

    Miséreux appâts


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