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Par chris73 le 8 Juin 2011 à 18:42
Au premier frémissement de l'Aube de Vie
Tu rayonnes la Lumière qui nous unis
Ô oui, tout ton Être est comme le matin
Qui nous offre la journée, tellement serein
Où absolument tous nos actes, pensées d'hier
Les plus beaux, même les plus bas et les plus fiers
Qui s'expriment, d'un coup, perdent l'impureté
Dès l'instant que tu donnes à l’Éternité
Demeurent à jamais, frémissements de paix
Simples dans ton juste chemin d'Amour qui est
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Par chris73 le 8 Juin 2011 à 18:35
Au sein de la jungle des arbres d'illusions
Dont les feuilles faciles enivrent si vite
Tu te faufiles de ces pièges d'impression
Par tes jambes agiles sur le sol de mites
Comme un fauve marié à l'immense espace
Offert à sa force comme pur témoignage
D'un caractère brut qui scrute tout en face
A tes peurs de recul, tes peurs du mirage
Si tu es l'étranger du monde des prochains
Du monde des clans dans quelque ville de fer
Où du monde des intolérances qui serrent
Qui serrent nos idées, nos amours et nos mains
Rayonne de ce temps béni de synergie
Pour les autres qui passent près de ton chemin
Pour les autres qui ont besoin des lendemains
Qui chantent la gaieté comme ceux de ta vie
Il semble tellement rapide de détruire
Et il me semble tellement long de construire
Comme les arbres que je vois brûler-Douleur
Qui mettent tant d'années à repousser-à Cœur
Ô pourrais je vraiment le comprendre un jour?
Ô mon Père, s'il vous plaît, pourrais-je le faire?
Est-ce seulement hypocrisie de ma part?
J'ai l'espoir que c'est en nous caché quelque part
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Par chris73 le 8 Juin 2011 à 17:12
A chaque frémissement d'instant qui éclos
Dans la coquille qui m'enveloppe encore
Toc, Toc. J'apprends à marcher dans un grand décor
Toc, il prend une forme vivante: je sors...
Comme un caméléon avec des facettes
Qui se découvre sur le pourtour de mon faible
Pour l'enrouler à table d'un ruban de miettes
Qui étouffe ma vision comme un grain de sable
Sait-on vraiment sortir de ces cercles maudits?
Qui m'oppriment de toute leur boucle, me disent:
Je suis victime, puis coupable de rancœur
Et puis coupable, puis victime de malheur
Oui, puisse l'infime route rester non vierge!
De quelque amour, quelque joie, de quelque cierge
D'un quelque léger sourire, d'un quelque mieux
Courage!
Quel riche chemin jusqu'aux cieux de Dieu!
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Par chris73 le 8 Juin 2011 à 17:01
Illusions d'auteurs parole
En chiffres de mot
Bien prévus si tôt
D'un petit chapeau d’Éole
Et l'affaire traîne
La justice est privée
De sa malle reine
Au pays de l'argent fée
A la splendide baguette
Amnistie facile
Amnésie roue libre
Oh, avec une sucette!
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Par chris73 le 5 Juin 2011 à 20:53
Quelque part très loin au fond d'un puits de brouillard
Qui ressemble à un échafaud de sentier
Piétinant la peur tes pas tracent le regard
De ce pays que tu appelles en premier
Cette terre te frotte d'un salut poli
La force brute des paysages du soir
De lourdes photos persistent dans ta mémoire
Telle une porte pour un tableau de Dali
Plonge au contact de l'étrange cité!
Quadrillée par des rainures posées à vif
Et comme une veine d'un fleuve qui siffle
A ton audace en soif de curiosité
Plonge vite au ventre de la différence
Source de tous, source des temps, source des sens
D'extase pour qu'ils travaillent tous à outrance
Dans quelque formidable élan d'arrogance
Non méprisante; Mais bien plus grand je le pense!
Dans chaque instant mêlé de révolution
Où la seconde est une année qui danse
Naturellement vient une méditation
Dans un grand livre Nature: riche lecture
Généreuse terre, généreuse eau pure
Qui t'éclabousse soudain à ta face dure
Puis l’amollisse. Désaltérante culture
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Par chris73 le 5 Juin 2011 à 20:41
Derrière une porte perdue
J'aperçus les mains d'un cheveu
Il semblait me dire tu veux
Il me semblait violer sa vue
J'entends le désir qui fouette
Dans mes veines des allumettes
M'allument et je sens la fièvre
Au fond de moi coure un lièvre
Apporter une rose rouge
Malheureux je la voyais blanche
Des icebergs de marbre blanc
Des larmes de sang dans ma gorge
M’empêchent d'atteindre le port
Du bonheur de ma bien-aimée
-Si simple-
Je pense qu'elle dort
Car j'entends son Rêve bien fort
Un jour je franchirai la porte
Pour te porter
Jusqu'à mon Corps
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Par chris73 le 5 Juin 2011 à 20:31
Quand le rouge pion
Roule le roi noir
Sur le tapis soir
Sa carte du lion
A donné sa dame
Qui pleure dans l'ombre
Une tour infâme
La mate-On sombre
Sur le paris vert
Carreaux de pelouse
Un cavalier sert
Des fous jouant l'eau
Salie d'un argent
Qui ne brille pas
Là dans ses blancs gants
Miséreux appâts
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