• Oui cherchons dans le Hara de la pyramide

    Le Verbe de Grâce

    De feu et de glace

    A bord d'une pirogue que l'on consolide

     

    Du bois de rosée

    Dont la moindre touche est une maître toile

    Mais comment oser?

    Nous forger les patins intimes des étoiles

     

    Libre Voie lactée

    Comme tes formidables Cercles s'accomplissent

    Sainte Unité

    Tes gestes purs et simples qui nous envahissent

     

    Sont les premiers chants du Corps de la Création

    Parle l'ancien Sabre

    Parle l'ancien Arbre

    Les formes sacrées dispersées par l'Illusion

     


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  • Nombre de douceurs inattendues m'envahissent

    Oui s'éteint le vent

    Et s'éteint le temps

    Où je suis. Par mes amis qui me saisissent 

     

    Une prairie naît

    Par votre présence, elle a pu s'ouvrir

    Mes douleurs fanées

    Sont devenues vos fleurs qui me laissent courir

     

    Un soleil se lève

    Parce que je vois vos yeux porter ses reflets

    Mes nuages d’Ève

    S'écoulent dans la Paix d'un beau filet de lait

     

    Un oiseau s'envole

    M'emporte dans l'azur, vertige d'une chute

    De tout mon alcool

    De mes rires agressifs, si rigides brutes

     

    Que je vomis de douleur de mon corps factice

    Pour casser ma Peur

    Splendides couleurs

    Aura de l'espérance d'un feu d'artifice


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  • Tu es né, insaisissable, au temps des hommes

    Petite flèche joyeuse, tu es si loin

    Pour les arcs lancés au sucre de ta pomme

    Nul n'atteint le bout du diapason de tes soins

     

    Mais qu'apportes nous tu dans ta tente secrète?

    Qui t'abrite jusqu'aux larges plaines d'hiver

    Toujours debout, mêmes aux magies étrangères

    Celles des sorciers, coiffés aux piquants de crête

     

    Toute entière, tu es joie et liberté

    Comme nous, tout à l'intérieur, notre blancheur

    De l'existence, sœur de générosité

    Qui allaite doucement un chaton rieur

     

    Regarde! du bout de sa patte il effleure

    De ton piano une touche efface l'heure

    Du bout d'un brin de ses moustaches de caresse

    Une jolie note, dans le silence, s'empresse


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  • Comme une étoile filante qui luit

    Au périhélie

    Jusqu'à l'aphélie

    De la rencontre qui éclaire notre nuit

     

    Nos chemins se touchent près, le long dans nos fils

    Qui juste s'animent

    Voire s'enracinent

    En spirales d'amour naissantes et fragiles

     

    Ô que se passe t-il?

    En nos sangs, en nos corps naturels qui s'étendent

    A la source d'infinelle et d'infinil

    Comme ils s'entendent

     

    De leur moindre soupir, c'est une mélodie

    De leur moindre note, gracieuse harmonie

    Chante l'inestimable beauté de la vie


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  • Ô souffle d'Ondine au tracé de lueur

    Béni de l'Inspire

    Le seul gué pour lire

    L'apaisante cathédrale des profondeurs

     

    Quel contour de grâce!

    Qui scintille comme un soleil dans ton corps

    Et même s’enlace

    Comme une robe d'eau en diamants d'Angkor

     

    Parez la princesse!

    Heureuses arabesques qui tournez sans cesse

    De colliers de neige

    Au gré des lignes de cercles et de trapèzes

     

    Formez des palais aux pétales généreuses!

    De salles, de mets

    De joie et de paix

    Par vos messages à la force silencieuse


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  • Aisance d'infinis mouvements qui prolongent

    L'étoile bleutée

    De ton chant qui songe

    Et baigne l'océan d'un voile velouté

     

    L'Onde volupté

    T'embrasse généreusement comme un prince

    L'Amour transporté

    Autour de la Terre dans ses courbes si minces

     

    Et tellement longues

    Qu'elles voyagent, Ô vibration de lumière

    A travers les mondes

    A travers le temps, à travers pères et mères

     

    Fluide liberté

    Qui embaume et habille l'Univers même

    Un lien subtil de présence qui nous emmène

     

    Toujours reconstruire, redéfinir, renaître

    Pour le sublime, pour vivre pleinement l’Être


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  • L'Enfant d'amour qui sommeille au fond de nous

    Est simple de joie

    Cette force soude

    Les âmes qui m'entourent auxquelles je crois

     

    Que ce soit tu sais

    Les arbres ou les fleurs, les oiseaux ou les fées

    Oui le Soleil luit

    Et ses rayons portent à travers toute nuit

     

    Le Soleil luit, communie aux milliards d'étoiles

    Que sont ses cousines

    Comme un arbre de Noël aux boules fines

    Il offre des cadeaux à la Terre voilée

     

    Car la Terre et le Soleil s'aiment bien sûr

    Elle veut offrir

    Par tous ses bons rires

    Ceux des enfants, on est tous ses enfants bien sûr!


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