• Vacances

    Goûtons un peu au dessert de chaque saison

    Prendre la cerise du temps loin des maisons

    Là où les vagues enlacées de douce crème

    Se savourent des yeux mais jamais ne s'emmènent

     

    Que tu contemples cette vision éphémère!

    Et oui! Je me laisse à l'illusion ma mère

    Ô limpide eau. Pourquoi me reflètes-tu?

    Dans le miroir où ma conscience si têtue

     

    Cherche le bateau qui porte bien dans ses reins

    Une femme. Mais elle me semble si loin

    Où ma seule bouée est l'infinie patience

     

    Et je m'y accroche à ce peu de confiance

    Je passe de l'innocence de mon enfance

    Je crois, à la souffrance de ma connaissance

     


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